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dimanche 7 août 2022

Sur les routes de France, l'église Saint Sauveur à Lacapelle Livron


Attenante à une ancienne commanderie des Templiers, l'église fortifiée est imposante, et puis une porte étroite, la fraîcheur... nous allumons, les voûtes nues, l'étroitesse encore... 
La puissante structure fond aux dimensions d'une chapelle. 
Inattendu...
       

L'église a été heureusement
préservée de la destruction...






lundi 1 août 2022

Sur les routes de France... le prieuré de Laramière

L'église st Georges attenante au prieuré
Le prieuré de Laramière, XIIIème siècle... il est possible de le visiter pour clore cette promenade aux alentours de l'oratoire St François, et si cela vous tente, il est à vendre...
              
Une visite virtuelle est accessible pour l'instant...

  



 



Sur les routes de France, Notre Dame des Grâces...





Sur nos chemins de traverse, une promenade en trois épisodes... 
A quelques kilomètres seulement de l'oratoire St François, à Lacapelle Livron (82160), une chapelle veille sur la vallée de la Bonnette : 
Notre Dame des Grâces, lumineuse et paisible...  

samedi 1 août 2020

Sur les routes de France... St Céneri le Gérei

Un village de la Sartre, une chapelle ermitage, et le lieu d'inspiration de nombreux peintres comme Corot, Courbet ou Buffet, entre autres, pour une halte champêtre...



Dans l'église médiévale, le Chemin de Croix en étain créé par Christian Malezieux





samedi 25 juillet 2020

Sur les routes de France... Villefranche de Rouergue

Une visite panoramique des sites religieux de Villefranche de Rouergue, en Aveyron. 
Cette bastide mérite bien un détour...









Deux lieux à découvrir : la chapelle des pénitents noirs...


                              
...et Notre Dame de Treize Pierres et les fresques de Nicolaï Greschny.

                     

  




samedi 18 juillet 2020

Sur les routes de France... Ronchamp

« Le véritable voyage, ce n’est pas de parcourir le désert ou de franchir de grandes distances sous-marines, c’est de parvenir en un point exceptionnel où la saveur de l’instant baigne tous les contours de la vie extérieure. »
Antoine de Saint-Exupéry





Une invitation à l'intériorité... ou le plaisir de découvrir ou redécouvrir la colline de Notre Dame du Haut et la maîtrise architecturale de Le Corbusier.

Nos soeurs Clarisses peuvent vous accueillir au monastère Sainte Claire... 

Bonne promenade !




dimanche 12 juillet 2020

Sur les routes de France... Fontfroide


Pour les amateurs de vielles pierres, dans les premiers contreforts des Corbières, une abbaye cistercienne se visite des dortoirs aux jardins... 






Elle accueille des concerts et des expositions et un parcours nocturne son et lumière en juillet et août. 
Assez fréquentée, certainement, l'abbaye n'en est pas moins très  belle...



mardi 7 juillet 2020

Sur les routes de France... Sylvanès

Un festival... 
Une résidence d'artistes... 
Et à proximité, une église orthodoxe... 
 
Au coeur d'une vallée boisée de l'Aveyron, en Occitanie, 
l'ancienne abbaye cistercienne de Sylvanès...


Bonne découverte !

"Parce que l’art joue un rôle majeur dans le vivre ensemble, l’Abbaye de Sylvanès multiplie les rencontres entre les artistes et les publics de tous âges.
La beauté, la sérénité et la qualité de son site architectural et naturel font de Sylvanès un lieu de patrimoine vivant particulièrement propice à la réflexion et la création. C’est un formidable lieu d’hospitalité, d’inspiration et d’enchantement qui favorise l’imagination, l’expérimentation et la transmission.
Être en résidence, pour un artiste, c’est accepter de partager des moments privilégiés avec différents publics à travers un atelier, une lecture, ou un spectacle.
Aller à la rencontre de ces artistes, pour le public, c’est l’occasion de découvrir le processus de création d’un spectacle, se questionner, comprendre, mais aussi, se changer les idées et s’enthousiasmer !"




samedi 27 juin 2020

Sur les routes de France... Conques

L'abbaye de Conques et le prieuré sainte Foy...

"...Une communauté visible, fraternelle, accueillante et priante, enrichie de la présence des hospitaliers bénévoles.
Huit frères de Mondaye, âgés de 33 à 85 ans, vivent, prient et travaillent à Conques tout au long de l’année, engagés dans la vie paroissiale et diocésaine, l’animation du sanctuaire et l’accueil des pèlerins et des retraitants... "


 La page Facebook du prieuré :

Que l'été vous soit doux !





lundi 8 juin 2020

Parabole...


J'ai envie de te conter une histoire courte, un peu comme une image peinte en mon cœur depuis quelques jours, je ne sais pas pourquoi.

Vois un chemin. Un long chemin de poussière et de pierre blonde. Au bout du chemin, un puits, dans un paysage aride, de longues tables rocheuses coulées de lumière, de la lavande, du thym, des fleurs menues blotties en touffes claires au creux de la roche. Vers la gauche, le plateau ploie et s'emplit de terre rousse, de hauts murs enserrent une vigne féconde, taillée et rangée, où l'on s'active.
La lumière ruisselle sur les jeunes grappes et les baigne. Patiemment.

Le maître de la vigne passe souvent sur le chemin, avec sa mère. Il veille, il conseille, il étend sa vigilance à chacun, et à chaque cep. Nul n'est oublié, il n'est pas une grappe qu'il ne remarque et qu'il ne soigne lui-même quand les ouvriers sont occupés ailleurs. Sa mère l'accompagne, apporte à boire et à manger aux ouvriers, les écoute, les console, porte leurs doléances à son fils.
Au soir, ils restent souvent à parler au puits, puis ils prennent le chemin du retour.

Au bord du chemin, il y a une vigne sauvage, qui donne du petit grain pour les oiseaux. C'est là toute sa vocation, offrir un peu de nourriture et une ombre fraîche. Elle a poussé seule, on ne sait trop comment, dans la pierre. Il y avait du soleil, et comme elle l'a vu, elle a grandi vers lui parce qu'elle espérait sa clarté.
Elle regarde passer le maître de la vigne et elle l'aime : jamais il ne manque de s'arrêter auprès d'elle et de lui parler doucement. Son regard est soleil, sa parole est pluie bienfaisante, ses mains la guident vers plus de lumière, plus de chaleur, et parfois il rit, il cueille les grains petits et acides qu'elle offre aux oiseaux, il dit : " ils apaisent ma soif", il s'assoit à son ombre et se repose enfin, et elle étire ses sarments, elle appelle la brise, elle veille sur son sommeil... Et quand il s'éveille, il sourit, laisse les feuilles étroites effleurer son front, il dit aussi : "tu es un temps de ma liberté"...
Elle l'aime. Elle est sienne, la sauvage, parce qu'elle s'est donnée pour rien. Personne ne l'a plantée, personne ne l'a taillée, et là il rit encore : c'est moi qui t'ai plantée pour moi et pour les oiseaux, pour mon repos... pour rien d'important. C'est elle alors qui rit.

Quand il ne vient pas, sa mère verse sur la pierre un vase de l'eau du puits, fraîche et vivante, et la pierre la boit. Il en reste toujours un peu dans un creux, pour le bain des oiseaux. La vigne pose son ombre là, exprès, et l'eau demeure.

Un jour s'est levé un vent ardent en tourbillons. Il a balayé le plateau, brûlant la pierre et les fleurs claires. Les murs ont vacillé, le soleil s'est fait de feu, la terre a craquelé, les oiseaux se sont enfuis. Les ouvriers ont manqué à la vigne parce qu'ils étaient saisis dans cette tourmente et cherchaient à s'abriter. Ils n'avaient pas tous vocation de martyrs. La belle vigne tremblait en son clôt, les grappes trop lourdes séchaient sur pied, les feuilles jaunissaient. Toute l'eau du puits était pour l'irrigation, mais le vent furieux la buvait largement au passage. Le maître de la vigne avait prévenu, il avait appelé, mais les ouvriers n'avaient pas entendu, alors il était là, il travaillait comme chacun. Parfois, il levait les yeux sur la vigne de son repos, il lui souriait de loin, et elle frémissait, vaillante, elle pensait à lui, elle l'aimait d'autant plus qu'il ne venait plus vers elle, sa mère non plus, il n'y avait plus d'eau pour elle.
Le vent avait balayé ses feuilles et le petit grain noir qu'elle offrait aux oiseaux : elle était nue, ses sarments s'étiraient sur la pierre, dans leur faiblesse, mais elle souriait toujours au maître. Elle l'aimait. Il savait cela.

La belle vigne souffrait. Les grains fripés s'embuaient au froid de la nuit et perdaient leurs dernières forces. Les ouvriers désertaient parce que l'ouvrage était trop dur : ils étaient peu nombreux, les nuits étaient trop froides et les jours trop brûlants. Beaucoup s'en allaient.
Le maître les regardait, il leur remettait leur salaire, et même davantage. Il les bénissait.
Un matin, il est monté jusqu'au chemin, il s'est avancé vers la vigne sauvage, il s'est agenouillé devant elle, il a touché les sarments amaigris, il a dit "veux-tu ?" Il la regardait, elle était libre, elle avait le choix, elle a dit oui, alors, d'un coup, il a tranché le cep.

Mon frère, de son cœur a jailli une eau pure et un soupir. Jamais la source n'a tari. La belle vigne a mangé la vie de la vigne aux oiseaux. Les grappes fripées ont gonflé à nouveau.
Cette vie n'était pas pour elle, elle venait de lui, elle était pour lui.
Elle n'était rien d'important.

Quand il passe sur le chemin, il sourit. Il voit l'eau jaillissante, il en boit parfois, puis il s'éloigne avec sa mère.
 Jaloux est son nom M. Felix.

jeudi 5 septembre 2019

Le chemin d'Assise...


Dernier volet de ces temps de vacances : une invitation à la paix...

"Ce chemin se veut être, depuis sa création, une démarche de pèlerinage dans l’esprit de Saint François. Il ne faut donc pas s’attendre à y trouver tout le « confort » ni toutes les « facilités » d’un itinéraire de randonnée, tant en ce qui concerne le balisage que les hébergements ou les possibilités de ravitaillement.

L’accueil de l’imprévu voire de l’inconfort, la recherche de la simplicité voire de la sobriété sont les conditions les plus courantes pour qui se met en chemin vers Assise.

Elles permettent ainsi de s’imprégner de  l’esprit de l’évangile tel que St François a choisi de le vivre." 


Carte et texte sont extraits du blog de l'Association "Chemins d'Assise"




dimanche 11 août 2019

Quand le ciel s'expose...


Lumières célestes...

Marcoville invite le ciel dans l'église Saint Julien de Tours jusqu'au 22 septembre 2019... De quoi enchanter les messes !
Claire Jeanteur a suivi son travail et nous le propose dans ce film produit par la CFRT : La pêche intérieure



dimanche 21 juillet 2019

L'abbaye Saint Martin du Canigou...



Après les champs de lavande de l'abbaye de Sénanque, une invitation à faire retraite... en hauteur !


           


Comment mieux en parler que les frères et soeurs qui veillent sur ce lieu :

"L’abbaye romane Saint-Martin-du-Canigou a été fondée autour de l’an mille par Guifred II, comte du Conflent et de Cerdagne. Au cœur du massif du Canigou, dans un décor somptueux, elle se dresse vers le Ciel. Dans son écrin de verdure, ce bijou du premier art roman cache un trésor autrement plus grand pour les hommes et les femmes, jeunes ou moins jeunes, en quête d’un lieu de ressourcement : la présence de Jésus-Christ, qui y est prié et adoré.
La Communauté des Béatitudes à qui l’évêque de Perpignan confie ce haut-lieu depuis 1988 y accueille toute l’année les nombreux promeneurs, touristes et pèlerins, pour des visites guidées et pour la liturgie. Elle y reçoit aussi des personnes désireuses de vivre quelques jours de ressourcement spirituel pour se mettre à l’écoute de Celui qui parle au cœur.
Nous vous souhaitons donc une bonne visite en attendant peut-être de vous accueillir en nos murs. 
Que le Seigneur vous bénisse !
Les frères et sœurs de l’abbaye Saint-Martin-du-Canigou"

Pour plus d'informations :

Abbaye Saint-Martin-du-Canigou