A tous, bonne, belle et profonde fête de la Tranfiguration!
"De l'un à l'autre", le blog de l'oratoire saint François d'Assise. Un espace dédié à l'amour du Christ et la compassion infinie envers tous les êtres qui habitaient le Poverello... et tant d'autres !
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samedi 6 août 2022
dimanche 30 août 2020
Sur les routes France... l'abbaye de Rhuys
La rentrée se profile... une dernière étape : la presqu'île de Rhuys, l'abbaye de Rhuys, et saint Gildas...
dimanche 23 août 2020
Sur les routes de France... la vallée des fresques.
samedi 25 juillet 2020
Sur les routes de France... Villefranche de Rouergue
samedi 18 juillet 2020
Sur les routes de France... Ronchamp
« Le véritable voyage, ce n’est pas de parcourir le désert ou de franchir de grandes distances sous-marines, c’est de parvenir en un point exceptionnel où la saveur de l’instant baigne tous les contours de la vie extérieure. »
Antoine de Saint-Exupéry
Une invitation à l'intériorité... ou le plaisir de découvrir ou redécouvrir la colline de Notre Dame du Haut et la maîtrise architecturale de Le Corbusier.
Nos soeurs Clarisses peuvent vous accueillir au monastère Sainte Claire...
Bonne promenade !
samedi 27 juin 2020
Sur les routes de France... Conques
L'abbaye de Conques et le prieuré sainte Foy...
"...Une communauté visible, fraternelle, accueillante et priante, enrichie de la présence des hospitaliers bénévoles.
Huit frères de Mondaye, âgés de 33 à 85 ans, vivent, prient et travaillent à Conques tout au long de l’année, engagés dans la vie paroissiale et diocésaine, l’animation du sanctuaire et l’accueil des pèlerins et des retraitants... "
La page Facebook du prieuré :
Que l'été vous soit doux !
vendredi 10 avril 2020
Vendredi saint, Impropères
Ecce Homo, Caravage |
Ô mon peuple, que t'ai-je fait ?
En quoi t'ai-je contristé ? Réponds-moi
toi, tu rejettes la vraie Vie
qui peut donner la joie sans ombre,
ô mon peuple, réponds-moi !
Frère sevré d’amertume,
En quoi t'ai-je contristé ? Réponds-moi
Peuple égaré
par l’amertume
Peuple au coeur fermé,
Peuple au coeur fermé,
souviens-toi
!
Le Maître
t’a libéré.
Tant d’amour
serait-il sans réponse,
tant d’amour
d’un Dieu crucifié ?
Moi, depuis l’aurore des mondes,
j’ai préparé ton aujourd’hui;
Caravage, la flagellation du Christ |
qui peut donner la joie sans ombre,
ô mon peuple, réponds-moi !
Moi, j’ai brisé tes liens
d’esclave,
J’ai fait sombrer tes ennemis ;
Toi, tu me livres à l’Ennemi,
tu me prépares une autre Pâque,
ô mon peuple, réponds-moi !
J’ai fait sombrer tes ennemis ;
Toi, tu me livres à l’Ennemi,
tu me prépares une autre Pâque,
ô mon peuple, réponds-moi !
Moi, j’ai pris part à ton exode,
Par la nuée je t’ai conduit ;
toi, tu m’enfermes dans ta nuit,
tu ne sais plus où va ma gloire,
ô mon peuple, réponds-moi !
Par la nuée je t’ai conduit ;
toi, tu m’enfermes dans ta nuit,
tu ne sais plus où va ma gloire,
ô mon peuple, réponds-moi !
Moi, j’ai envoyé mes prophètes,
Ils ont crié dans ton exil ;
Toi, tu ne veux pas revenir,
tu deviens sourd quand je t’appelle,
ô mon peuple, réponds-moi !
Ils ont crié dans ton exil ;
Toi, tu ne veux pas revenir,
tu deviens sourd quand je t’appelle,
ô mon peuple, réponds-moi !
Moi, j’ai voulu, vivante Sève,
jeter l’espoir de fruits nouveaux ;
toi, tu te coupes de mes eaux
mais pour aller vers quelle sève ?
ô mon peuple, réponds-moi !
jeter l’espoir de fruits nouveaux ;
toi, tu te coupes de mes eaux
mais pour aller vers quelle sève ?
ô mon peuple, réponds-moi !
Vigne aux raisins d’amertume,
Vigne aux sarments desséchés,
Souviens-toi !
La Grappe fut vendangée ;
ce Fruit mûr serait-il sans partage,
ce Fruit mûr que Dieu a pressé ?
Caravage, la déposition du Christ |
Moi, j’ai porté le poids des
chaînes,
j’ai courbé le dos sous les fouets ;
toi, tu me blesses en l’opprimé,
l’innocent tombé sous la haine,
ô mon frère, réponds-moi !
j’ai courbé le dos sous les fouets ;
toi, tu me blesses en l’opprimé,
l’innocent tombé sous la haine,
ô mon frère, réponds-moi !
Moi, j’ai porté sceptre et
couronne
Et manteau royal empourpré ;
toi, tu rougis de confesser
le Fils de Dieu parmi les hommes,
ô mon frère, réponds-moi !
Et manteau royal empourpré ;
toi, tu rougis de confesser
le Fils de Dieu parmi les hommes,
ô mon frère, réponds-moi !
Moi, j’ai marché vers le Calvaire
Où mes deux bras furent cloués ;
Toi, tu refuses la montée
Quand meurt en croix l’un de mes frères,
ô mon frère, réponds-moi !
Où mes deux bras furent cloués ;
Toi, tu refuses la montée
Quand meurt en croix l’un de mes frères,
ô mon frère, réponds-moi !
Moi, je revis depuis l’Aurore
Où le Vivant m’a réveillé ;
Toi, le témoin de ma clarté,
es-tu vivant parmi les hommes ?
ô mon frère, réponds-moi !
Où le Vivant m’a réveillé ;
Toi, le témoin de ma clarté,
es-tu vivant parmi les hommes ?
ô mon frère, réponds-moi !
Frère sevré d’amertume,
Frère au coeur desséché,
Souviens-toi !
Ton frère t’a relevé,
Jésus-christ, le Verbe et la Réponse,
Jésus-Christ, l’Amour révélé.
Au cours de la Liturgie de
l’Adoration de la Croix, le Vendredi Saint, l’Eglise nous offre cette belle
méditation à travers ce chant des Impropères
dimanche 11 août 2019
Quand le ciel s'expose...
Lumières célestes...
Marcoville invite le ciel dans l'église Saint Julien de Tours jusqu'au 22 septembre 2019... De quoi enchanter les messes !
Claire Jeanteur a suivi son travail et nous le propose dans ce film produit par la CFRT : La pêche intérieure
vendredi 19 avril 2019
dimanche 7 avril 2019
De la Loi à la Grâce...
dimanche 11 novembre 2018
Yoram Raanan, une nouvelle lumière...
Ménora, Yoram Raanan |
"J'ai vu mon studio tomber dans l'incendie, j'ai assisté à la destruction de quarante ans de travail, mais j'ai aussi reconnu autre chose cette nuit-là. Les feuilles brûlantes tombant des arbres, qui allaient enflammer la poudrière, un atelier plein de toile, de bois et de peinture, semblaient être de petits anges flottant doucement dans l'air de la montagne.
Je n'ai jamais vraiment trouvé les mots pour articuler comment ces deux reconnaissances - destruction et douceur céleste - pourraient coexister pour moi en même temps. Mais quand j'ai recommencé à peindre, mes nouvelles peintures disaient ce que je ne pouvais pas.
D'une part, ils étaient pleins de tons sombres, parfois même noirs et cendrés. C'était différent de tout ce que j'avais peint dans le passé. Mais en même temps, ils étaient remplis d'or, une couleur que je n'avais jamais jugée nécessaire auparavant. C'était comme si les ténèbres de ma perte m'avaient en quelque sorte ouvert à une vérité plus profonde, à une nouvelle lumière." Yoram Raanan
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